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IA en entreprise : comment gérer les risques?

IA en entreprise : comment gérer les risques?

Quel sera l’effet des technologies conversationnelles (ChatGPT, Bard et autres) au sein des entreprises et en milieu de travail.

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  • Paiement anticipé des taxes gouvernementales de brevet au Canada afin d’éviter l’importante augmentation de 2024

    Les taxes gouvernementales applicables aux brevets et aux demandes de brevet canadiens augmenteront de jusqu’à 36 % le 1er janvier 2024. Les principales augmentations sont présentées dans le tableau ci-dessous.  Les demandeurs peuvent donc souhaiter devancer en 2023 certaines actions et le paiement des taxes gouvernementales associées afin de bénéficier des taux inférieurs de 2023, au moins dans les circonstances suivantes : Le dépôt hâtif de demandes divisionnaires peut être particulièrement avantageux, car ces demandes comportent des taxes gouvernementales élevées. Toutes les taxes de maintien rétroactives à partir du deuxième anniversaire sont payables au moment du dépôt des demandes divisionnaires, avec la taxe de dépôt. Les taxes d’examen sont aussi généralement exigibles dans les trois mois suivant le dépôt de la demande divisionnaire.1 Les demandeurs ayant l’intention d’entrer en phase nationale canadienne de demandes internationales en instance peuvent sauver des coûts en devançant leur dépôt en 2023. Le paiement d’une ou de plusieurs taxes de maintien exigibles en 2024 ou après peut être devancé en 2023 pour tout brevet ou demande de brevet. Enfin, le paiement des taxes d’examen dues en 2024 ou après peut également être devancé en 2023 pour bénéficier du tarif moins élevé. Taxe de l’OPIC 2023* 2024* Taxe de dépôt 421,02 $ 555,00 $ Taxe d’examen ou de demande de poursuite d’examen (RCE) 816,00 $ 1 111,00 $   Taxe de revendication supplémentaire pour chaque revendication au-delà de la 20e 100,00 $ 110,00 $ Taxe d’avancement de l’examen 526,29 $ 694,00 $ Taxe de maintien - 2e au 4e anniversaire 100,00 $ 125,00 $ Taxe de maintien - 5e au 9e anniversaire 210,51 $ 277,00 $ Taxe de maintien - 10e au 14e anniversaire 263,14 $ 347,00 $ Taxe de maintien - 15e au 19e anniversaire 473,65 $ 624,00 $ *Tarif normal applicable aux demandeurs non admissibles au tarif des petites entités La pratique en matière divisionnaire est très stricte au Canada toutefois, de telle sorte que les demandes divisionnaires ne sont généralement déposées que pour couvrir un groupe d’invention non-élu ayant été identifié dans une objection de manque d’unité inventive.

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  • Le succès des fêtes de Noël organisées par l'employeur : l'affaire de tous?

    Les fêtes de Noël en milieu de travail arrivent à grands pas! Bien que ces célébrations soient une occasion spéciale pour renforcer l’esprit d’équipe et pour souligner le travail acharné de tous, il ne faut pas perdre de vue que leur succès repose à la fois sur l’employeur, mais également sur l’ensemble de son personnel, incluant les cadres et les personnes salariées. Nous n’avons qu’à penser aux épisodes de harcèlement qui sont susceptibles de survenir lorsque l’alcool et le plaisir sont au rendez-vous. À cet égard, quelles sont les responsabilités de chacun en matière de fêtes de Noël? Obligations de l’employeur Encadrement légal De façon générale, plusieurs obligations de l’employeur - tout comme celles des personnes salariées - prévues dans la législation ou encore dans des règlements ou politiques de l’entreprise peuvent se transposer dans le cadre de fêtes de Noël organisées par l’employeur. C’est le cas notamment en matière de harcèlement. Rappelons que depuis les dernières années, la législation a évolué afin d’offrir une protection élargie contre le harcèlement et la violence au travail. Outre l’obligation de prendre les moyens raisonnables pour prévenir le harcèlement psychologique1, l’employeur doit, depuis 2021, prendre des mesures pour assurer la protection d’une personne salariée « exposée sur les lieux de travail à une situation de violence physique ou psychologique, incluant la violence conjugale, familiale ou à caractère sexuel »2. Encore plus récemment, le 23 novembre 2023, le ministre du Travail a présenté le projet de loi n° 42 intitulé Loi visant à prévenir et à combattre le harcèlement psychologique et la violence à caractère sexuel en milieu de travail (le « Projet de loi »). Bien que le Projet de loi soit seulement à l’étape de la présentation et puisse faire l’objet de plusieurs modifications, le ministre explique qu’il vise « à rendre les milieux de travail plus sains, respectueux et sécuritaires [et] à éliminer les comportements inacceptables »3. De plus amples informations concernant ce Projet de loi feront d’ailleurs l’objet d’un bulletin distinct. Droit de gérance de l’employeur Lorsque l’employeur est témoin ou apprend autrement l’existence de comportements inappropriés survenus lors d’une fête de Noël qu’il a organisée, il est tout à fait en droit de faire enquête et de prendre les mesures adéquates, y compris des mesures disciplinaires pouvant aller jusqu’au congédiement4. Par exemple, un employeur pouvait imposer une suspension disciplinaire de trois (3) jours à une personne salariée ayant commis un geste à caractère sexuel lors de la fête de Noël5. Un congédiement était également une mesure appropriée pour des actes de violence commis par un salarié à l’égard de sa collègue et ex-conjointe à l’occasion d’une fête de Noël6. L’enquête de l’employeur peut parfois même être étendue à des événements qui se seraient déroulés après une fête de Noël célébrée à l’extérieur des lieux du travail. Par exemple, dans une décision rendue en 2022, une arbitre rappelait que l’employeur pouvait mener une enquête sur des allégations d’agression et de harcèlement sexuel qui auraient eu lieu dans une chambre d’hôtel après la fête de Noël puisqu’il existait un lien suffisant entre les activités personnelles et l’employeur7. Malgré la nature privée des événements, ceux-ci ont eu une incidence négative sur le climat de travail et justifiaient une enquête par l’employeur à laquelle les personnes salariées devaient collaborer8. Dans le même ordre d’idées, une autre arbitre a confirmé le congédiement d’une personne salariée ayant agressé son superviseur, et ce, même si les faits étaient survenus lors du prolongement de la fête de Noël9. Mesures à prendre afin d’éviter les abus et les excès Plusieurs mesures en amont peuvent être prises par l’employeur afin d’éviter des situations d’abus et d’excès, dont notamment : Rappeler les politiques applicables, notamment le code de conduite et la politique de prévention du harcèlement; Autoriser un nombre limité de consommations alcoolisées par personne; Fermer le bar ou le service de consommations quelques heures avant la fin de la fête; S’assurer qu’il y ait suffisamment de nourriture, d’eau et de boissons non alcoolisées durant toute la soirée; Fournir des chambres d’hôtel individuelles; Assurer un service de raccompagnement sécuritaire à la maison. Obligations des personnes salariées La personne salariée qui se présente, dans le cadre de son emploi, à une fête de Noël organisée par son employeur conserve le statut qu’elle détient chez celui-ci10. Elle doit donc se conformer à ses différentes obligations, y compris à celles de faire preuve de savoir-être et de civilité, de ne pas mettre en danger sa santé et sa sécurité et celles de ses collègues, d’adopter un langage adéquat et un comportement exempt de harcèlement et, de façon générale, de respecter les politiques de l’employeur. Il s’agit en quelque sorte du prolongement du milieu de travail. Dans le cas spécifique des membres du personnel-cadre, l’employeur est en droit d’avoir des attentes plus élevées quant à leur comportement exemplaire. Par ailleurs, lorsque l’employeur enquête concernant des événements qui se seraient déroulés pendant ou après une telle fête, les personnes salariées sont, en outre, tenues de collaborer de bonne foi. …Et les témoins? Comme mentionné précédemment, le succès des fêtes de Noël est une affaire de tous. Cependant, est-il réaliste de pouvoir compter sur les personnes salariées pour dénoncer tout comportement problématique dont ils sont témoins pouvant survenir lors de celles-ci? Le devoir de loyauté est-il suffisant pour créer une obligation générale de dénoncer tout comportement fautif? La réponse n’est pas limpide. En ce qui a trait aux cadres, étant « les yeux et les oreilles » de l’employeur, ils sont soumis à une obligation de loyauté plus contraignante compte tenu de leurs responsabilités hiérarchiques11. L’employeur pourrait donc s’attendre à ce qu’ils dénoncent des comportements problématiques qui surviendraient lors d’une fête de Noël. En ce qui concerne les personnes salariées (non-cadres), l’imposition d’une obligation générale de dénonciation de tout comportement fautif a été jugée déraisonnable12, une telle obligation « mett[ant] en péril la sérénité du climat de travail »13. Cependant, il existe des cas où l’obligation de dénonciation est légitime. Il en va ainsi lorsque cette norme vise à protéger la santé et la sécurité des collègues et du public. La nature même des fonctions exercées par la personne salariée sera déterminante pour juger de la validité de l’obligation de dénonciation14. Dans tous les cas, la personne salariée doit se dissocier des comportements fautifs et éviter d’y participer. Enfin, malgré l’absence d’une obligation générale de dénonciation, l’employeur peut valablement faire la promotion de la dénonciation du harcèlement, sans la rendre obligatoire15. Conclusion La fête de Noël d’un employeur est certainement un événement fort attendu. Surtout dans le contexte des dernières années avec l’explosion du télétravail ou du mode « hybride », cet événement se veut particulièrement rassembleur. Il doit toutefois demeurer festif, pour tous. Avec des ingrédients simples, mais sûrs, tels la conscientisation au sujet des responsabilités de chacun et le respect mutuel, cette célébration sera un réel succès. Bonnes festivités à tous! Loi sur les normes du travail, RLRQ, c. N-1.1, article 81.19. Loi sur la santé et la sécurité du travail, RLRQ, c. S-2.1, article 51 (16). Cabinet du ministre du Travail et ministre responsable de la région de la Mauricie et de la région du Nord-du-Québec, « Le ministre Jean Boulet présente le projet de loi 42, Loi visant à prévenir et à combattre le harcèlement psychologique et la violence à caractère sexuel en milieu de travail Gouvernement du Québec», 23 novembre 2023. Pour plus d’informations à ce sujet, nous vous invitons à consulter le bulletin suivant : Lavery, « Le retour des soirées de Noël : ce qu’un employeur doit savoir », 9 décembre 2022, lien URL : Le retour des soirées de Noël : ce qu’un employeur doit savoir. Teamsters Québec, section locale 1999 et Univar Canada ltée (Jean-Martin Gobeil), 2020 QCTA 344. Travailleurs et travailleuses unis de l'alimentation et du commerce, section locale 500 (TUAC-FTQ) et Royal Vézina inc. (St-Hubert), 2017 QCTA 304. Syndicat des salariés(es) de l'agroalimentaire de Ste-Claire (CSD) et Kerry Canada inc., 2022 QCTA 224. Voir également : CSN-Syndicat du personnel de bureau du CISSS de la Gaspésie et Centre intégré de santé et de services sociaux de la Gaspésie, 2023 QCTA 131. Syndicat des inspecteurs du RTM-CSN et EXO (Charles-David Lapointe), 2020 QCTA 24. Association internationale des machinistes et des travailleuses et travailleurs de l'aérospatiale, district 140, section locale 2309 et Servisair (Avo Minassian), D.T.E. 2009T-448 (T.A.). Shell Canada ltée et Travailleurs unis du pétrole du Canada, section locale 121 du SCEP, D.T.E. 2010T-68 (T.A.); Journal de Montréal et Syndicat des travailleurs de l'information du Journal de Montréal (CSN), 2015 QCTA 52. Id.; voir également : Viterra inc. et Unifor, section locale 2022, 2020 QCTA 565. Shell Canada ltée et Travailleurs unis du pétrole du Canada, section locale 121 du SCEP, précitée, note 11, par. 88. Id. Journal de Montréal et Syndicat des travailleurs de l'information du Journal de Montréal (CSN), précitée, note 11.

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  1. France Camille De Mers nommée avocate de l’année au Gala du Jeune Barreau De Montréal

    Lavery est fier d'annoncer que France Camille De Mers a reçu le prix d'avocate de l'année en droit corporatif, lors de la 17e édition du Gala du Jeune Barreau de Montréal « Les leaders de demain » qui s'est tenue le 30 novembre à Montréal. Cette reconnaissance souligne les juristes qui se sont démarqués au sein de la profession juridique et qui se sont illustrés par leur expertise, la qualité de leurs dossiers et leur dévouement. France Camille De Mers pratique principalement en droit transactionnel et en droit commercial. Dans le cadre de sa pratique, elle négocie, rédige et révise différents documents juridiques afférents à des transactions commerciales (vente et acquisition d'entreprise, fusion, réorganisation corporative). Au cours de sa carrière, France Camille a travaillé sur plusieurs transactions d'envergure, tout en desservant des entrepreneurs dans toutes les facettes de leur croissance. Elle les conseille notamment sur leur structure corporative, sur les questions de gouvernance, en matière de lobbyisme et sur leurs enjeux stratégiques. Félicitations à France Camille pour cette nomination qui témoigne de son talent et de son expertise. À propos de Lavery Lavery est la firme juridique indépendante de référence au Québec. Elle compte plus de 200 professionnels établis à Montréal, Québec, Sherbrooke et Trois-Rivières, qui œuvrent chaque jour pour offrir toute la gamme des services juridiques aux organisations qui font des affaires au Québec. Reconnus par les plus prestigieux répertoires juridiques, les professionnels de Lavery sont au cœur de ce qui bouge dans le milieu des affaires et s'impliquent activement dans leurs communautés. L'expertise du cabinet est fréquemment sollicitée par de nombreux partenaires nationaux et mondiaux pour les accompagner dans des dossiers de juridiction québécoise.

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  2. Lavery accueille deux avocats et renforce son expertise en litige commercial

    Lavery est ravi d'accueillir Marc-André Landry et Joël Larouche au sein de son équipe Litige et règlement des différends, qui viennent renforcer l'expertise du cabinet en matière de litige commercial. Marc-André Landry se joint à l'équipe à titre d'associé. Fort d'une solide expérience en matière de résolution de différends, il assiste ses clients notamment par le biais de la négociation, la médiation, l'arbitrage ou devant les diverses instances judiciaires. Il agit pour un vaste éventail de clients issus de différents secteurs comme la construction, l'immobilier, le secteur de l'énergie renouvelable et celui des énergies, des nouvelles technologies, des services financiers ou encore de l'industrie pharmaceutique. Me Landry est régulièrement consulté dans des cas de fraudes ou de vols de données d'entreprise. Sa connaissance des mesures extraordinaires (injonctions Anton Piller ou Norwich, saisies, demandes de confidentialité, entre autres) lui permet de protéger efficacement les intérêts des clients.De la même façon, il défend des gens d'affaires accusés par l'Autorité des marchés financiers de violation des lois en matière de valeurs mobilières. « La vision de Lavery ainsi que la force de son équipe m'ont persuadé de me joindre à ce cabinet... et je n'ai pas fait erreur : les clients bénéficient déjà et apprécient la plateforme multiservice de Lavery qui répond autant aux besoins des PME que des plus grandes institutions. » souligne Marc-André. Joël Larouche se joint à l'équipe à titre d'avocat principal. Il concentre sa pratique principalement sur des enjeux juridiques en matière de litige commercial tels que l'insolvabilité et la restructuration. Au fils des années, il a acquis une expérience marquée en matière d'injonction de toute nature comme des ordonnances de type Anton Piller, Norwich, Mareva et, notamment dans le cadre de la violation de clauses de non-sollicitation et de non-concurrence, ainsi qu'en cas d'usurpation de renseignements personnels et de données confidentielles. À cet effet, il agit fréquemment en tant qu'avocat superviseur indépendant dans le contexte d'exécution d'ordonnances de type Anton Piller. Son intervention est recherchée dans des contextes variés, incluant les litiges entre actionnaires, les litiges transactionnels, de même que dans le cadre d'enquêtes réglementaires et d'enjeux liés à la gouvernance. Sa pratique l'amène à représenter autant des grandes entreprises du secteur privé qu'institutionnel, notamment dans les secteurs financier, technologique et de la construction. « Je suis très heureux de me joindre à la famille Lavery, qui bénéficie d'une équipe passionnée et rigoureuse dont la réputation n'est plus à faire. L'idée d'œuvrer au sein d'un cabinet indépendant de premier plan m'a rapidement plu, mais surtout, j'ai été convaincu par les qualités humaines du cabinet. » affirme Joël. L'expertise combinée de ces deux professionnels vient consolider l'offre de Lavery en matière de litige commercial, affirmant la position du cabinet comme référence au Québec. À propos de Lavery Lavery est la firme juridique indépendante de référence au Québec. Elle compte plus de 200 professionnels établis à Montréal, Québec, Sherbrooke et Trois-Rivières, qui œuvrent chaque jour pour offrir toute la gamme des services juridiques aux organisations qui font des affaires au Québec. Reconnus par les plus prestigieux répertoires juridiques, les professionnels de Lavery sont au cœur de ce qui bouge dans le milieu des affaires et s'impliquent activement dans leurs communautés. L'expertise du cabinet est fréquemment sollicitée par de nombreux partenaires nationaux et mondiaux pour les accompagner dans des dossiers de juridiction québécoise.

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  3. Myriam Brixi reconnue comme cheffe de file au Canada pour son expertise en litige selon Lexpert

    Le 23 novembre 2023, Lexpert a reconnu l’expertise de Myriam Brixi dans son édition 2023 de Lexpert Special Edition: Litigation. Ce répertoire reconnaît les avocats plaidants de premier plan impliqués dans les dossiers de litiges les plus significatifs du pays et qui se sont démarqués au sein de la profession juridique par la qualité remarquable des services rendus. Chaque année, l'équipe du Canadian Legal Lexpert Directory analyse les affaires les plus notables au pays et mène des entretiens approfondis avec des avocats spécialisés en litige afin d’évaluer les nominations des pairs et mettre de l’avant les juristes d’exceptions. Associée au sein du groupe Litige et règlement de différends de Lavery, Myriam Brixi oriente sa pratique principalement vers les actions collectives, la responsabilité du fabricant et du vendeur, le droit de la consommation, ainsi que le droit des assurances. Myriam a participé à des actions collectives complexes soulevant d’importantes questions juridiques incluant une vaste gamme d’actions collectives multijuridictionnelles.   Myriam ajoute cette reconnaissance à celles d’avocate plaidante de l’année au Québec dans la catégorie talent émergent décernée plus tôt cette année, ainsi qu’à sa nomination parmi les 100 meilleures avocates en litige au Canada par Benchmark Litigation. Félicitations à Myriam pour cette nomination qui témoigne de son talent et de son expertise. Pour plus d'information, nous vous invitons à vous rendre sur le site suivant : https://www.lexpert.ca/rankings/best-lawyer/se-lit À propos de Lavery Lavery est la firme juridique indépendante de référence au Québec. Elle compte plus de 200 professionnels établis à Montréal, Québec, Sherbrooke et Trois-Rivières, qui œuvrent chaque jour pour offrir toute la gamme des services juridiques aux organisations qui font des affaires au Québec. Reconnus par les plus prestigieux répertoires juridiques, les professionnels de Lavery sont au cœur de ce qui bouge dans le milieu des affaires et s'impliquent activement dans leurs communautés. L'expertise du cabinet est fréquemment sollicitée par de nombreux partenaires nationaux et mondiaux pour les accompagner dans des dossiers de juridiction québécoise.

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  4. Anik Trudel, cheffe de la direction chez Lavery, nommée PDG de l’année par Les Affaires dans la catégorie moyenne entreprise

    Lavery est fier d’annoncer que sa cheffe de la direction, Anik Trudel, s’est vu décerner la distinction de PDG de l’année 2023, dans la catégorie moyenne entreprise, par le Journal Les Affaires. La nomination d’une femme dans cette catégorie est une première dans l’histoire de Les Affaires. Le prix PDG de l’année est remis à des dirigeants ayant à cœur l'innovation, le respect des parties prenantes, favorisant une bonne culture d'entreprise et créant les conditions gagnantes pour la croissance. Cette reconnaissance décernée par l’intermédiaire d’un jury formé de personnalités du milieu des affaires est un témoignage du leadership d’Anik Trudel à faire évoluer et propulser le cabinet depuis son arrivée, il y a six ans. « Cette distinction, je la partage avec l’ensemble des associés, des avocats, de tous nos professionnels, les membres du comité de direction et tout le personnel administratif sans qui toutes nos réalisations ne seraient pas possibles. C’est un réel honneur pour moi ainsi que pour Lavery de recevoir cette reconnaissance de la part de membres de la communauté d’affaires du Québec qui nous démontre que notre passion collective à mener notre mission, celle d’être un partenaire des acteurs clés de l’économie du Québec, est porteuse et reconnue », affirme Anik Trudel. Lors de sa nomination en 2017, son profil faisait exception dans le milieu juridique : une femme prenant la tête d'un cabinet sans en être issue, sans être associée et alors qu’elle ne pratiquait plus le droit. Lavery l'a choisie non seulement pour sa compréhension du monde juridique, mais aussi pour son approche de gestion alors que Lavery avait la vision de devenir un leader dans la transformation de l’industrie juridique au Québec. Lavery est fondée sur une culture d'entreprise inclusive, collaborative et performante. En tant que cheffe de la direction totalement dédiée à la saine gestion des opérations, elle s'est attelée à bâtir une équipe de professionnels diversifiée, dont certains ne proviennent pas de l’industrie du droit, pour œuvrer de concert avec les associés vers la réalisation des objectifs stratégiques du cabinet. Lavery connaît une solide croissance et se distingue par son approche innovante dans le milieu.

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