Me Katia Opalka, associée en droit de l’environnement et en droit autochtone chez Lavery, est citée dans un récent numéro du magazine National, dans un article portant sur le devoir de la Couronne de consulter les peuples autochtones.
Selon Me Opalka, si la Couronne fait défaut de s’acquitter de ce devoir avant d’autoriser un projet sur des terres sujettes à des réclamations autochtones, cela peut affecter la validité des autorisations émises pour le projet. Il s’agit d’un risque qui doit être minimisé afin de permettre aux promoteurs d’attirer l’investissement nécessaire à la réalisation de leurs projets.
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