Droit minier

Vue d’ensemble

Le groupe Droit minier de Lavery est reconnu par ses pairs comme étant l’un des cabinets de droit minier incontournables au Québec, grâce à sa vaste expertise de ce domaine et à une clientèle avertie composée de sociétés locales, nationales et internationales.

Lavery est présent dans le secteur minier depuis plus de 60 ans et aide régulièrement des sociétés à atteindre leurs objectifs en matière de développement des affaires au Canada et à l’étranger en mettant en œuvre des alliances stratégiques et diverses stratégies de financement. Nous représentons des sociétés minières canadiennes au Canada ainsi qu’en Amérique du Sud (Pérou, Colombie) et en Afrique (Maroc, Mali, Guinée, Burkina Faso, Sénégal).

À la différence d’autres cabinets qui gèrent seulement quelques transactions minières par année, notre groupe Droit minier fait partie d’une poignée de cabinets sur ce marché qui exécutent continuellement des mandats d’ampleur diverse tout au long de l’année. De plus, notre groupe Droit minier collabore étroitement avec des cabinets d’avocats de partout au Canada qui n’ont pas de bureaux au Québec. Il a également agi dans le cadre de plusieurs acquisitions de sociétés ou de biens, lors desquelles, souvent, des sociétés américaines et multinationales ont acquis des projets ou des sociétés minières dans la province.

Services

Le groupe Droit minier offre une grande variété de services qui couvrent chaque aspect de ce domaine :

  • Conventions d’achat-vente relatives à des droits miniers et à des droits connexes
  • Conentreprises et conventions d’actionnaires pour des exploitants de mines et des projets miniers
  • Fusions, plans d’arrangement et regroupements d’entreprises
  • Préparation et conduite de vérifications diligentes
  • Conventions de vente, contrats d’approvisionnement et autres contrats types (contrats de broyage, redevances, contrats de lavage à l’eau courante)
  • Avis juridique sur les incitations fiscales à l’exploration minière
  • Conseils sur l’application des lois et règlements en matière d’environnement, l’obtention des autorisations nécessaires et le processus d’évaluation environnementale
  • Conseils au sujet de l’exercice de droits d’expropriation en vertu de la Loi sur les mines (du Québec)
  • Contrats concernant des sites miniers et leur infrastructure (y compris les autoroutes et les ponts menant à des sites éloignés)
  • Documents requis aux fins de placements privés et publics, de financement par emprunt et par capitaux propres, ainsi que tous les documents requis par les bourses et les commissions des valeurs mobilières
  • Expertise en droit immobilier, notamment les recherches de titres, le transfert de droits miniers ainsi que les différentes façons de détenir ceux-ci
  • Expertise en droit des terres agricoles et représentation lors de différends devant des tribunaux administratifs
  • Expertise en droit de la construction et des assurances, notamment en ce qui concerne les appels d’offres, les permis de construction, la législation pertinente, les cautions de bonne exécution, les garanties de construction, ainsi que les nombreux types d’assurances nécessaires à la protection des projets
  • Expertise dans l’utilisation des sources énergétiques privées sur les sites miniers (électricité, gaz naturel, éolienne, solaire)
  • Ententes sur les répercussions et les avantages (IBA) et d’autres ententes entre les sociétés minières et les groupes autochtones
  • Baux et ventes à tempérament d’équipement minier lourd
  • Avis juridique sur les droits ancestraux et issus de traités, notamment l’établissement de droits dans des accords de revendication territoriale, ainsi que des conseils stratégiques en matière de relations avec les communautés autochtones
  • Représentation devant les tribunaux dans toutes les instances de conciliation ou d’arbitrage
  • Représentation relativement à toutes les questions d’accréditation de syndicats ou de négociation de conventions collectives
  • Planification fiscale
  • Financement bancaire traditionnel, autres structures de financement (prêt à la construction, prêts adossés à des actifs, financement secondaire) et établissement de titres (y compris ceux sur les actifs miniers mobiles et fixes, tout en respectant les exigences légales relatives à l’exploitation minière).

Mandats représentatifs

  • Newmont Corporation, dans le cadre de la vente d'Éléonore, l'une des plus grandes mines d'or du Québec, à Dhilmar Ltd, une société d'investissement minier nouvellement constituée au Royaume-Uni, pour un montant de 1,1 milliard de dollars canadiens (2025).
  • Mines Abcourt, dans le cadre de sa fusion triangulaire avec la Corporation Ressources Pershimex (2023).
  • Brunswick Exploration, dans le cadre de plusieurs financements privés et acquisitions transfrontaliers de propriétés minières dans différentes provinces canadiennes (2023).
  • Exploration Midland, dans le cadre de ses partenariats stratégiques pour ses activités d'exploration et le développement miniers de propriétés dans le Nord-du-Québec avec Société aurifère Barrick, Rio Tinto et SOQUEM (2023).
  • Minière Osisko, à titre de conseiller juridique au Québec dans le cadre d'un accord de coentreprise à 50 % avec une filiale de Gold Fields Limited pour la propriété et le développement conjoints du projet aurifère Windfall d'Osisko, au Québec (2023).
  • Fancamp Exploration, dans le cadre d'un accord de coentreprise avec Platinex visant à accélérer l'avancement des activités d'exploration et de développement de certaines propriétés minières aurifères situées en Ontario (2023).
  • Winsome Resources, une société cotée à la Bourse d'Australie, concernant les questions juridiques, réglementaires et fiscales au Canada dans le cadre de son financement transfrontalier par actions accréditives (2023).
  • Société de développement de la Baie-James, dans la rédaction d'une entente de principe avec la Ville de Matagami pour l'exploitation de la cour de transbordement de Matagami.
  • Société de développement de la Baie-James, dans le cadre d'un fonds d'investissement minier novateur par l'entremise d'une société en commandite (NQ Investissement minier) au nom du client, qui est devenu un commanditaire de la société en commandite, et en collaboration avec l'Administration régionale Baie-James (ARBJ), un organisme public dédié au développement régional et à l'identification aux solutions les plus appropriées pour la région d'Eeyou Istchee Baie-James (2023).

 

  1. Rappel : Rapport en vertu de la Loi canadienne sur l'esclavage moderne à soumettre d'ici le 31 mai 2025

    De nombreuses entités canadiennes et autres entités ayant des activités au Canada ont des obligations de déclaration en vertu de la Loi sur la lutte contre le travail forcé et le travail des enfants dans les chaînes d'approvisionnement (la « Loi sur l'esclavage moderne »), entrée en vigueur le 1er janvier 2024. Ces obligations comprennent pour ces entités celles de remplir un questionnaire en ligne et de déposer un rapport annuel décrivant en détail les mesures prises pour prévenir et réduire le risque de travail forcé ou de travail des enfants dans leur chaîne d'approvisionnement. La Loi sur l'esclavage moderne s'applique aux institutions gouvernementales produisant, achetant ou distribuant des biens au Canada ou ailleurs, ainsi qu'aux « entités » produisant des biens au Canada ou ailleurs, ou important des biens produits à l'extérieur du Canada, ou contrôlant de telles entités. Une « entité » désigne les organisations cotées en bourse au Canada ou qui ont une présence commerciale ou des actifs au Canada et satisfont à certains seuils liés aux actifs, aux revenus ou au nombre d'employés. Alors que les organisations se préparent pour la prochaine échéance de déclaration du 31 mai 2025 - un deuxième rapport pour plusieurs - elles devraient considérer les points suivants : Il est utile de consulter les lignes directrices, qui ont été mises à jour en novembre 2024 par Sécurité publique Canada, notamment afin de clarifier des termes clés comme actifs, biens et importateur. Le non-respect de l'obligation de soumettre le rapport conformément à la Loi sur l'esclavage moderne peut entraîner des pénalités importantes, y compris des amendes et une responsabilité potentielle pour les administrateurs, dirigeants et employés concernés. Le rapport doit couvrir un large éventail d'informations, être approuvé par le corps dirigeant de l'entité et inclure l'attestation requise. Suffisamment de temps et de ressources devraient donc être alloués à la préparation et à l'approbation du rapport. En résumé, les entités déclarantes et les institutions gouvernementales assujetties à la Loi sur l'esclavage moderne devraient promptement passer en revue leurs obligations et rassembler les informations nécessaires pour leurs rapports. Il est essentiel de déposer des rapports complets et en temps opportun afin d'éviter des conséquences juridiques et financières. Pour de l’assistance ou des précisions sur la Loi sur l'esclavage moderne, veuillez communiquer avec Mylène Vallières à mvallieres@lavery.ca.

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  2. Budget Québec 2025-2026 : Révision de la fiscalité minière québécoise — Des défis à relever, des occasions à saisir

    Le 25 mars dernier, le ministre des Finances du Québec a dévoilé son budget 2025-2026, qui transforme de façon significative le paysage fiscal du secteur minier au Québec. En effet, ce budget apporte des changements majeurs au régime des actions accréditives ainsi qu’au crédit d’impôt relatif aux ressources, qui auront des incidences importantes pour les investisseurs et les entreprises du secteur des ressources naturelles. Modifications au régime des actions accréditives Abolition des deux déductions additionnelles de 10 % Dans le cadre de l’examen de ses dépenses fiscales, le gouvernement a décidé de procéder à des ajustements au régime des actions accréditives. Il en résulte que sont abolies les déductions suivantes : la déduction additionnelle de 10 % à l’égard de certains frais d’exploration engagés au Québec par une société minière qui n’exploite aucune ressource minérale?; la déduction additionnelle de 10 % à l’égard de certains frais d’exploration minière de surface engagés au Québec par une société minière qui n’exploite aucune ressource minérale. Sauf exceptions1, ces modifications s’appliqueront aux actions accréditives émises après le 25 mars 2025. Il est également à noter que le budget abolit l’exemption additionnelle de gains en capital résultant de l’aliénation de certains biens relatifs aux ressources, tels que les actions accréditives. En revanche, la déduction supplémentaire pour certains frais d’émission semble être maintenue. Modifications du crédit d’impôt relatif aux ressources Malgré ces abolitions, le budget comporte tout de même une nouvelle positive pour le secteur des métaux critiques et stratégiques. Celui-ci prévoit en effet une bonification temporaire des taux du crédit d’impôt relatif aux ressources pour les frais admissibles liés aux minéraux critiques et stratégiques. Jusqu’au 31 décembre 2029, ces frais bénéficieront d’un taux de crédit d’impôt de 45 % pour les sociétés admissibles déterminées, c’est-à-dire celles qui n’exploitent aucune ressource minérale, et de 20 % pour les autres sociétés admissibles, soit celles qui exploitent une ressource minérale. Aux fins du crédit d’impôt relatif aux ressources, les minéraux critiques désigneront les minéraux suivants : antimoine, bismuth, cadmium, césium, cuivre, étain, gallium, indium, tellure et zinc. Quant aux minéraux stratégiques, ils désigneront les minéraux suivants : cobalt, éléments des terres rares, éléments du groupe du platine, graphite (naturel), lithium, magnésium, nickel, niobium, scandium, tantale, titane et vanadium. Plusieurs autres modifications techniques sont également apportées au crédit d’impôt relatif aux ressources. Celles-ci feront l’objet d’un bulletin ultérieur plus détaillé sur le sujet. Les modifications instaurées par le budget 2025-2026 du Québec auront certainement une incidence sur la planification fiscale des entreprises et des investisseurs du secteur des ressources naturelles. Notre équipe de professionnels en droit minier et en fiscalité est prête à répondre toutes vos questions concernant ces nouvelles mesures. Nous pouvons vous accompagner autant dans le développement de vos projets d’investissement minier au Québec, pour maximiser les bénéfices des taux bonifiés du crédit d’impôt relatif aux ressources, que dans la mise en œuvre d’un financement accréditif réussi. Ces modifications ne s’appliqueront pas aux actions émises après le 25 mars 2025, mais avant le 1er janvier 2026, à condition qu’elles soient émises à la suite d’une demande de visa de prospectus provisoire effectuée au plus tard le 25 mars 2025. Elles ne s’appliqueront pas non plus aux actions émises après le 25 mars 2025 si elles sont émises à la suite d’une annonce publique effectuée au plus tard le 25 mars 2025 et si le formulaire de déclaration de placement est remis à l’Autorité des marchés financiers au plus tard le 31 mai 2025.

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  3. Briser l’emprise de la Chine : les prochaines étapes des États-Unis et du Canada dans le secteur minier

    Dans une démarche stratégique visant à renforcer la production nationale de minéraux critiques, le président Donald Trump a invoqué le Defense Production Act (DPA) et a signé un décret présidentiel visant à réduire la dépendance des États-Unis aux sources étrangères, en particulier la Chine, qui domine le marché mondial des terres rares. Cette domination du marché présente des risques économiques et sécuritaires pour les pays dépendants de ces matériaux pour leurs technologies avancées, comme les États-Unis et le Canada. Le décret présidentiel s’appuie sur le DPA pour offrir des financements, des prêts et un soutien aux investissements dans le traitement domestique des éléments de terres rares (ETR) et des minéraux critiques. Les ETR sont précieux et essentiels à la fabrication de composants électroniques (ex. : microprocesseurs, semi-conducteurs et tout produit intégrant une puce informatique). Cette initiative vise à renforcer la sécurité nationale en garantissant un approvisionnement stable en matériaux indispensables aux technologies, allant des batteries aux systèmes de défense. Les aimants NdFeB standards, sans terbium (Tb) ni dysprosium (Dy), ne peuvent pas être utilisés dans des applications à haute température, comme les composantes critiques des véhicules électriques. La production d’alliages prémagnétiques ETR de grande valeur nécessite l’achat d’oxydes séparés de Tb et de Dy provenant de Chine. Les préoccupations récentes concernant l’approvisionnement futur en ETR portent principalement sur les éléments de terres rares lourdes (ETRL).À ce jour, la quasi-totalité des ETRL mondiaux provient des gisements d’argile d’adsorption ionique du sud de la Chine. La capacité de ces gisements à maintenir et à augmenter leur production est incertaine, notamment en raison de la dégradation environnementale associée à certaines opérations minières et d’extraction dans la région. Alors que les États-Unis intensifient leurs efforts pour sécuriser leurs chaînes d’approvisionnement en minéraux, le Canada, riche en ressources minérales, a une occasion de renforcer sa position en tant que fournisseur clé. Toutefois, il doit aussi gérer ses propres intérêts stratégiques en veillant à ce que ses capacités d’extraction et de traitement restent concurrentielles. Les gisements de minéraux ETR contiennent généralement des niveaux significatifs d’éléments radioactifs tels que le thorium (Th) et l’uranium (U), ce qui rend leur extraction particulièrement complexe sur le plan environnemental. L’élaboration de nouvelles méthodes d’extraction et de séparation des valeurs des ETR, offrant un rendement élevé et une pureté optimale, tout en réduisant l’impact écologique et en surmontant les limitations techniques et économiques des procédés commerciaux actuels, représente un intérêt commercial considérable. Par ailleurs, la diversification des marchés d’exportation au-delà des États-Unis pourrait protéger le Canada contre d’éventuels changements dans les politiques américaines, tout en consolidant son rôle d’acteur mondial dans l’industrie des minéraux critiques. Alors que le décret de l’administration Trump souligne l’importance stratégique des minéraux critiques et la nécessité de développer des chaînes d’approvisionnement résilientes, nous pouvons nous attendre à de nouvelles annonces dans les mois à venir de la part des États-Unis sur leurs efforts pour réduire leur dépendance envers les autres pays dans l’industrie minière. Restez à l’affût !

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  4. Le gouvernement du Canada prolonge d’un an le crédit d’impôt pour exploration minière

    Le 28 mars 2024, le ministère des Finances du Canada a annoncé une prolongation d’un an du crédit d’impôt pour l’exploration minière (« CIEM ») de 15 % accordé aux particuliers qui investissent dans des actions accréditives. Cette prolongation a pour effet de maintenir le CIEM en vigueur jusqu’au 31 mars 2025. Cette annonce tombe à point alors qu’une certaine incertitude planait dans l’industrie et que certains acteurs craignaient même que le gouvernement envisage de ne pas renouveler le CIEM. Effectivement, ce crédit d’impôt est devenu avec le temps un élément clé des financements par actions accréditives. Il vise à bonifier les déductions fiscales déjà accessibles aux détenteurs d’actions accréditives et, ultimement, à stimuler la levée de capitaux pour les sociétés d’exploration minière. Bien qu’elle représente une bonne nouvelle pour les sociétés d’exploration, il est important de noter que cette prolongation de courte durée, soit d’un an, ne procure pas le même niveau de confiance quant à l’avenir de cet incitatif que par le passé. En contraste, en 2019, le CIEM avait été renouvelé pour une période de cinq ans, témoignant ainsi de l’engagement à long terme du gouvernement envers ce crédit d’impôt à l’époque. Il est possible que cette prolongation d’un an reflète plutôt la volonté du gouvernement de plutôt mettre de l’avant le nouveau crédit d’impôt de 30 % pour l’exploration minière de minéraux critiques (« CIEMC ») sur lequel on peut trouver plus d’information ici : Budget fédéral 2022 : bonne nouvelle pour les sociétés d’exploration minière! En terminant, il est important de souligner que la prolongation d’un an du CIEM de 15 % n’affecte pas la période de disponibilité du CIEMC de 30 % pour l’exploration de minéraux critiques, ce dernier restant en vigueur jusqu’au 31 mars 2027, avec possibilité de renouvellement. Si un financement pour des minéraux non critiques faisait partie de vos plans, il pourrait être judicieux de clôturer cette opération dans l’année à venir afin qu’elle bénéficie du CIEM de 15 %. Notre équipe de professionnels en valeurs mobilières, droit minier et fiscalité est disponible pour répondre à toutes vos questions concernant cette nouvelle mesure et vous accompagner dans la mise en œuvre d’un financement accréditif réussi.

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  1. L’expertise de Lavery reconnue par Chambers Global 2024

    Nous sommes heureux d’annoncer que Lavery a été de nouveau reconnu dans l'édition 2024 de Chambers Global dans les secteurs suivants : Propriété intellectuelle (Canada) - Band 4 Litige de propriété intellectuelle (Canada) - Band 4 Ces reconnaissances sont une démonstration renouvelée de l’expertise et de la qualité des services juridiques qui caractérisent les professionnels de Lavery. Deux de nos membres ont été reconnus comme des chefs de file dans leur champ de pratique respectif par l'édition 2024 du répertoire Chambers Global. Consultez ci-dessous les domaines d'expertise dans lesquels ils ont été reconnus : René Branchaud : Mines (International et transfrontalier) - Band 5 Sébastien Vézina : Mines (International et transfrontalier) - Band 5 Depuis 1990, les guides Chambers and Partners évaluent les cabinets et les juristes de premier plan dans plus de 200 juridictions dans le monde. Les juristes et les cabinets qui se retrouvent dans Chambers sont choisis au terme d'un processus rigoureux de recherches et d'entrevues auprès d'un large éventail de juristes et leurs clients. La sélection finale repose sur des critères bien circonscrits, tels que la qualité des services offerts aux clients, l'expertise juridique et le sens des affaires. À propos de LaveryLavery est la firme juridique indépendante de référence au Québec. Elle compte plus de 200 professionnels établis à Montréal, Québec, Sherbrooke et Trois-Rivières, qui œuvrent chaque jour pour offrir toute la gamme des services juridiques aux organisations qui font des affaires au Québec. Reconnus par les plus prestigieux répertoires juridiques, les professionnels de Lavery sont au cœur de ce qui bouge dans le milieu des affaires et s'impliquent activement dans leurs communautés. L'expertise du cabinet est fréquemment sollicitée par de nombreux partenaires nationaux et mondiaux pour les accompagner dans des dossiers de juridiction québécoise.

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  2. Trois associés reconnus comme des chefs de file au Canada pour leur expertise en droit minier selon Lexpert

    Le 23 octobre 2023, Lexpert a reconnu l’expertise de trois associés dans son édition 2023 de Lexpert Special Edition: Mining. Josianne Beaudry, René Branchaud et Sébastien Vézina figurent ainsi parmi les chefs de file au Canada pour accompagner les acteurs de l’économie de l’industrie de minière. Josianne Beaudry est associée et chef de pratique du groupe Droit des affaires de Lavery. Elle exerce principalement en matière de valeurs mobilières, fonds d'investissement et droit minier. Elle conseille les participants du secteur financier relativement à l’application de la réglementation en matière de valeurs mobilières et de gouvernance. René Branchaud est associé au sein du groupe Droit des affaires du cabinet. Il exerce dans les domaines du droit des valeurs mobilières, des fusions et acquisitions et du droit des sociétés. Avec plus de 30 ans d’expérience, il conseille les entreprises, notamment quant à leur constitution, leur organisation, la rédaction de conventions entre actionnaires, les placements privés, les appels publics à l'épargne, les inscriptions en bourse, les dispositions et les prises de contrôle. Sébastien Vézina est associé au sein du groupe Droit des affaires du cabinet. Au fil des années, il a affiné sa pratique et développé un intérêt particulier dans la négociation d’ententes commerciales auprès des entreprises qui œuvrent au sein de l’industrie minière et des énergies renouvelables, de l’industrie des services financiers et celle du sport et divertissement. De manière générale, sa pratique auprès de ces différentes industries comprend les domaines des fusions et acquisitions de sociétés ouvertes et fermées, du financement public et privé, des investissements et des rachats d'entreprises dans le secteur privé, notamment les opérations transfrontalières entre les États-Unis et le Canada et les opérations internationales, ainsi que la négociation d'ententes commerciales diverses. À propos de Lavery Lavery est la firme juridique indépendante de référence au Québec. Elle compte plus de 200 professionnels établis à Montréal, Québec, Sherbrooke et Trois-Rivières, qui œuvrent chaque jour pour offrir toute la gamme des services juridiques aux organisations qui font des affaires au Québec. Reconnus par les plus prestigieux répertoires juridiques, les professionnels de Lavery sont au cœur de ce qui bouge dans le milieu des affaires et s'impliquent activement dans leurs communautés. L'expertise du cabinet est fréquemment sollicitée par de nombreux partenaires nationaux et mondiaux pour les accompagner dans des dossiers de juridiction québécoise.

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